Gallows Pole a pris forme en décembre 1994 !

Tribute Band construit sur une passion commune pour LED ZEPPELIN, le groupe revisite sur scène les titres ayant créé la légende du grand dirigeable.
Influencé aussi par la période « post-ledzeppelinienne » et les parcours plus ou moins croisés de Robert PLANT, Jimmy PAGE et John Paul JONES.

Gallows Pole vous transporte des racines du blues aux balbutiements du hard rock, en passant par les montagnes du Pays de Galles ou le désert du Kashmir.

Gallows Pole, qui signifie une potence, un gibet, est une des plages titulaires de l’album III de
LED ZEPPELIN, à l’ambiance acoustique très particulière.

Fondé en 1992 dans la région de Verviers / Liège en Belgique, le groupe High-Voltage s’est imposé depuis 25 ans comme un groupe dynamique et surtout authentique. Le nom à lui seul évoque les souvenirs des soirées « Sweaty Rock’n’Roll » et ce n’est pas pour rien que les Belges sont considérés comme l’un des meilleurs groupes de reprises AC/DC au monde. Dans leurs prestations, ils sont si proches de l’original que le Hard Rock Magazine a écrit : « Ce groupe hommage belge pourrait remplacer AC/DC sans que personne ne le remarque » (HRM octobre 2000).

Depuis plus de 40 ans, Deep Purple marque d’une empreinte indélébile la grande histoire du rock. Bercés par la musique de ce groupe mythique, les musiciens de FIREBALL rendent hommage avec respect et précision à ce monument du rock.
Sur scène, Fireball exulte. L’énergie, la puissance, un timbre de voix proche de Ian Gillan, les sons des claviers de John Lord, les riffs inoubliables de Ritchie Blackmore, sans oublier le jeu de batterie de Ian Paice secondé par la basse solide de Roger Glover…tout y est !

 

Fondé à Bruxelles en 2016, The Roost se nourri de racines nu-metal et stoner pour se frayer un chemin dans la nébuleuse rock actuel. Harponné par Roland De Greef (le bassiste de Machiavel), The Roost se fend d’un «Alice» en 2020 qui laisse entrevoir un sacré potentiel surtout dans le chef du single «Leila», un bijou. Très remonté sur scène, The Roost compte bien venir défendre en nos murs une deuxième œuvre qui devrait les faire monter en grade après la période malheureuse du covid. N’arrivez pas trop tard…

Les régionaux de l’étape montent inexorablement et nous sentions qu’il était opportun de les produire avant qu’il ne soit trop tard. Fondus de rock classique cru seventies, les Liégeois font partie d’un mouvement appelé rock néo-classique qui a vu éclore des formations telles que Rivals Sons, Greta Van Fleet ou Dirty Honey. Le premier single «White Lava» (2024) est une bombe. Le 1er EP, une confirmation. The Flynts nous matraque un hard/psyché au son vintage et à la rythmique lourde. Un régal pour les anciens.

La moitié de Robby Valentine, Maria Catharina, les fidèles du GARF commencent à la connaître surtout que la dame n’est pas du genre à faire tapisserie. Maria nous revient donc en vedette avec son Robby en homme lige. Maria propose un hard rock moderne, un peu sympho, épique et très mélodique. Sa voix haute, distinctive et passionnée promet de faire la différence. Si vous aimez le caviar, vous devriez être servi.

 

Ce band de Seattle (Etat de Washington) n’est jamais venu en Belgique. Après le GARF, il est clair qu’il ne devrait jamais revenir vu qu’il arrêtera ses activités. Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire. Nous sommes contents de vous proposer une telle sensation parce que l’inédit reste dans notre ADN même si il s’avère de plus en plus compliqué de faire venir ce type de groupe. Anyway, Q5 en vaut la peine. En 1984, Q5 déboule sans crier gare avec un album stratosphérique : «Steel The Light». Peut-être l’album hard de l’année avec «The Warning» de Queensryche (band de Seattle itou !). Mélodique à souhait, aérien, prenant, avec soit de longues plages envoûtantes ou des petits brûlots, «Steel The Light» paraît miraculeux. Un peu trop. «When the Mirror cracks», l’année suivante, assure mais sans plus.

Floyd Rose, l’impeccable guitariste, lâche l’affaire pour créer son système et le chanteur Jonathan Scott K. réapparait dans un autre projet. Le retour de Q5 après plusieurs décennies est inespéré. Ne le manquez pas !

La dernière fois que Sweet a mis les pieds à Liège, cela s’est très mal passé. C’était en mai 1972 au Mini-Club Barker de Liers et les olibrius avaient terminé en pote (à la prison St-Léonard !) après des comportements inappropriés avec de jeunes demoiselles. Les indécrottables avaient été ainsi déclaré persona non grata en Belgique pour un certain temps. C’était le (bon) temps des ritournelles buble gum troussées par les hitmakers Nicky Chinn et Mike Chapman.

L’eau a coulé sous les ponts. Les rois du glam sont devenus énormes (avec des albums aussi forts que « Sweet Fanny Adams», «Desolation Boulevard», «Give Us a Wink», «Off The Record» et «Level Headed») et le glam band N°1 (attention il y a match avec Slade – enfin celui de Noddy Holder) a résisté à tout (et influencé tout le monde) avant que les principaux protagonistes (Connelly, Priest et Tucker) ne tombent comme des mouches. Heureusement, il nous reste le guitariste Andy Scott et ses jeunes lieutenants qui comme à chaque concert viennent claquer les «Teenage Rampage», «Ballroom Blitz», «Blockbuster» «Hell Raiser», «Action» et autres «Set Me Free». Rien de neuf sous le soleil à part un maximum de paillettes, de fun, de rock basique et d’exubérance.

Le maestro Allemand adore Liège. Venu une bonne dizaine de fois dans notre Cité Ardente avec Scorpions dans presque toutes les salles et clubs, le natif de Düsseldorf s’est lié d’amitié au fil du temps avec pas mal de Liégeois. C’est ainsi que lors de notre premier GARF à Fonck en 2019, Uli a été l’artiste ou le groupe qui a été le plus plébiscité par le public.

Le faire revenir à Chênée (deux concerts avec Scorpions en 1977 et 1978 et un Tribute Hendrix avec Such A Noise et Randy Hansen en 1991) ? Une évidence tant les bons souvenirs demeurent prégnants pour ce guitar hero émule du grand Jimi, féru de musique classique et de philosophie. Grand dans un scorpions aux visées romantiques et parfois psychédéliques (le binôme Schenker/Meine challengeait Uli au niveau écriture), terriblement fin, personnel et grandiloquent (Beyond The Astrial Skies – 1985) dans un Electric Sun très peu en phase avec le Scorpions «grand public», Uli se décline comme un virtuose adulé (Kirk Hammett de Metallica, Yngwie Malmsteen, Marty Friedman de Megadeth, Eric Peterson de Testament… sont ses plus grands adeptes). Nous sommes fiers de vous présenter à nouveau (mais en vedette cette fois et avec un show complet) cette pointure de l’âge d’or du rock encore bien vert à 70 printemps.

Le nouveau show d’Uli Jon Roth s’intitule «Pictures of Destiny». Il nous présentera de nouvelles compos, un nouveau décor orné de ses toiles et le florilège de sa brillante carrière.

Le batteur liégeois Rudy Lenners, son ancien comparse dans Scorpions entre 1975 et 1978, viendra jouer quelques morceaux avec son ami. Du Scorpions natürlich !

Ne manquez cette tournée d’Uli. C’est une des rares dates sur notre continent en 2025.

Vendredi

Samedi

 Portes : 18h00

Portes : 12h00

18h30 – 19h30

 12h45 – 13h25

 20h15 – 21h45

14h00 – 14h45

22h30 – 00h00

Fin : 00h30

15h20 – 16h20 

 

16h55 – 17h55

18h30 – 19h30

20h25 – 21h10

22h20 – 00h00

Fin : 00h30